Pièce multifacettes pour cinq danseurs et un invité, Feeding Back désoriente et déjoue les algorithmes : la danse part à la recherche de ce qu’il reste de l’humain hors des données collectées et des chiffres policés.
Nos photos, tweets, ou commentaires semés sur Internet sont autant de datas venant nourrir la moulinette des algorithmes qui anticipent nos désirs et attaquent notre autonomie. Questionnant le contrôle et les affectations, Feeding Back navigue entre l’espace du théâtre, son adaptation urbaine in situ, et la documentation de la performance. Dans ce théâtre-chorégraphique, les artistes franco-allemands Malgven Gerbes et David Brandstätter organisent la résistance en nous incitant à se réapproprier l’éthique et à réclamer notre libre-arbitre.
Équipe artistique
- Projet : Malgven Gerbes & David Brandstätter
- Collaboration chorégraphique & performance : Hyoung-Min Kim, Aline Landreau, Raphael Hillebrand, Sebastian Elias Kurth, Malgven Gerbes & David Brandstätter
- Musique : Brendan Dougherty
- Intervenant invité : Juliane Rettschlag
- Création lumière & scénographie : Ruth Waldeyer
- Réalisation décors & costumes : Heather MacCrimmon
- Conseils en dramaturgie : Heike Albrecht & Uwe Gössel
Nos partenaires
Production
Production : s h i f t s – art in movement
Coproduction : Coproduction : Le Phare – Centre chorégraphique national du Havre Normandie – direction Emmanuelle Vo-Dinh, CCN − Ballet de Lorraine – accueil studio 2018/2019, fabrik Potsdam – Artists-in-residence, Résidences Tanzfabrik aux Uferstudios (Berlin) Soutien : Direction Régionale des Affaires Culturelles de Normandie, Ministère de la Culture, Région Normandie, Hauptstadtkulturfonds Diffusion avec le soutien du Goethe Institut.
La compagnie shifts – art in movement est artiste associée au Phare, CCN du Havre Normandie, pour 2019, 2020, 2021, dans le cadre du dispositif Résidence d’artiste soutenu par le Ministre de la Culture.
English version
A multifaceted piece for, five dancers and a guest, Feeding Back disorients and messes with the algorithms: it’s dance in search of what’s left of human beings outside the data collected and the numbers policed.