Nacera Belaza

CIE NACERA BELAZA

L’Onde

mardi 8 septembre21 h 00

40 min

Avant-première
Création 2020
5 interprètes

En coréalisation avec l'Institut du monde arabe dans le cadre du Printemps de la danse arabe

→ Au Théâtre de l'Aquarium

English version
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« Je dis toujours que mes pièces viennent s’inscrire l’une dans le prolongement de l’autre, mais cela n’implique pas du tout une continuité en termes de gestuelle ». Nacera Belaza pose ses créations comme les jalons d’un chemin, une ligne tendue sans répit vers l’horizon. Fascinée par le mouvement rituel, qui sous-tend ses précédentes pièces, la chorégraphe née en Algérie a été nourrie par des archives de danses traditionnelles de son pays d’origine. Après Le Cercle, avec L’Onde elle déplie de façon plus frontale cette obsession. Mais la chorégraphe est formelle, ces danses ne sont pas un sujet à reproduire sur le plateau : « Je ne m’autorise pas l’imitation, je ne copie pas, je mets des filtres ». Partant du vide, d’un temps et d’un espace infini, de lâcher-prise originel, L’Onde est un quintette d’une rare intensité.

L’entretien de Nacera Belaza sur maculture.fr

Équipe artistique

  • Chorégraphie, Conception son et lumière : Nacera Belaza
  • Interprètes : Nacera Belaza, Aurélie Berland, Beth Emmerson, Magdalena Hylak, Mélodie Lasselin
  • Régie générale : Christophe Renaud

Nos partenaires

Production

  • Production : Compagnie Nacera Belaza
  • Coproduction : Kunstenfestivaldesarts – Charleroi Danse ; Festival de Marseille ; deSingel – Anvers, Campus International des Arts ; MC93 – Bobigny ; LUMA-Arles ; ICI–CCN ; L’Arsenal – Cité musicale, Metz ; Atelier de Paris / CDCN
  • Action financée par la Région Île-de-France – Aide à la création
  • Soutiens : Fondation LUMA-Arles ; Points Communs – Cergy-Pontoise ; SPEDIDAM ; SACD dans le cadre du programme duo ; Institut français – Ville de Paris
  • Photo : Gregory Lorenzutti for Dancehouse

English version

In L’Onde, the choreographer Nacera Belaza takes a head-on approach to ritual, a notion that had influenced her previous creations in subterranean ways. The quintet brings the principles of such ancestral practices – unity, the hypothesis of infinite time and space – into play and movement. A highly original way of letting go.